Quelle est la valeur nette de Viktor Bout en 2023 ? Viktor Bout, un Russe de 56 ans, est un marchand d’armes notoire, connu comme fabricant d’armes et ancien traducteur militaire soviétique, qui a utilisé plusieurs de ses sociétés pour faire passer clandestinement des armes depuis l’Europe de l’Est vers l’Afrique et le Moyen-Orient dans les années 1990 et au début des années 2000.

Qui est Viktor Bout ?

Le 13 janvier 1967, Viktor Bout, de son nom complet Viktor Anatolyevich Bout, est né à Douchanbé, au Tadjikistan. Il a commencé sa carrière comme traducteur pour l’armée soviétique en Afghanistan. Viktor Bout a ensuite fondé sa propre compagnie de fret aérien, livrant des armes à divers clients dans le monde entier, et a été arrêté par les autorités américaines en 2010 pour avoir conspiré en vue de fournir un soutien matériel aux terroristes. Bout a été libéré en décembre 2022 par le gouvernement américain en échange de l’Américaine Brittney Griner, détenue dans une prison russe.

Combien de maisons et de voitures Viktor Bout possède-t-il ?

Viktor possédait plusieurs actifs, dont un luxueux hôtel Radisson Slavyanskaya à Moscou, qui a également été confisqué par le gouvernement russe en 2010, et l’hôtel a ensuite été vendu à SOCAR, la compagnie pétrolière d’État azerbaïdjanaise. Il n’y a aucune trace de ses collections de voitures.

Combien gagne Viktor Bout par an ?

En 2023, il avait amassé une valeur nette estimée à 50 millions de dollars.

Combien de contrats publicitaires a Viktor Bout ?

Il n’existe aucune information documentée concernant les accords de parrainage de Viktor.

Combien d’œuvres philanthropiques Viktor Bout a-t-il soutenu ?

Il n’existe aucune trace du travail philanthropique de Viktor Bout.

Combien d’entreprises Viktor Bout possède-t-il ?

Même si Viktor était un homme d’affaires, ses affaires n’étaient ni bonnes ni légitimes. C’était un marchand d’armes notoire. Il est largement connu en tant que fabricant d’armes et ancien traducteur militaire soviétique qui a utilisé ses nombreuses entreprises pour faire passer clandestinement des armes d’Europe de l’Est vers l’Afrique et le Moyen-Orient dans les années 1990 et au début des années 2000.